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Rugby, Vélo, Auto

  • Marc Perrin
  • décembre 30, 2020
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Simon Hartmann, Lucas Marijon, Alban Conduché : pour la jeune génération du Stade Dijonnais, la conduite frein à main dans les virages des années 1980 est vraiment passée de mode. Comment ces trois joueurs vivent-ils les mobilités d’aujourd’hui ? Témoignages.

 

Non, les 18-30 ans ne sont pas antibagnole. Pas folle du volant pour autant, cette génération passe de l’automobile au vélo, quitte à sauter dans un train. Sa mobilité ? Un choix pragmatique. Simon Hartmann vient d’empocher son permis. « C’est cool mais conduire n’était pas un rêve d’enfant. J’habite au centre de Dijon, je n’ai jamais eu envie du permis. Je me rends au stade Bourillot à vélo, exceptionnellement en bus, et j’ai toujours vécu avec le tram. Pour mon alternance en BTS immobilier à Chalon-surSaône, je prends le train, même si embarquer à 6h40, ça pique un peu.» Plus coûteuse, la voiture est une liberté qui lui permet désormais d’aller où il veut quand il veut, et de gagner des heures de sommeil les semaines d’entraînement. « Conduire est dangereux, ce n’est pas un jeu. Je suis confiant mais je reste sur mes gardes. » Une maturité qu’il doit au rugby, entamé à six ans. « Le sport t’apprend que chaque effort est un travail qui mérite récompense. Tout n’est pas acquis. C’est la question de ma vie : j’ai fait énormément de sacrifices mais je n’ai qu’un objectif, le rugby. J’ai mis de côté ce qu’il fallait pour arriver à mes fins. Quand je regarde ce que j’ai vécu, j’en suis fier et je ne regrette rien. »

L’automobile, Lucas Marijon s’en fiche un peu. « Ce n’est pas une passion mais une nécessité, je ne suis fan ni de voiture ni de vélo. Aux beaux jours, aller à vélo prendre un café en ville est pratique. Pour les courses, la voiture est agréable. » À Dijon depuis quatre ans, Lucas a décroché le permis pour les cours, les entraînements à Montpellier et… pour décharger ses parents. À 25 ans, il ne fantasme franchement pas sur les bolides. « Ça ne me passionne pas. J’ai une Twingo, un outil plus qu’un plaisir. » Quant aux deux-roues, il ne « voit pas l’intérêt de prendre un vélo si c’est pour mettre le pied à terre tous les feux rouges, rouler derrière une voiture et suivre son rythme le nez dans le pot d’échappement ». Pratique pour aller au stade les matins de bouchons si on ne s’amuse pas à traverser n’importe comment, le vélo n’est pas sécure. D’ailleurs, «un cycliste sans permis ou qui ne conduit pas régulièrement anticipe moins les automobilistes déboîtant sans regarder. Il sera plus sujet aux accidents ».

Alban Conduché, lui, aime rouler seul avec sa musique, dans le mood d’une journée de plaisir à l’entraînement. Sans horaire fixe. Les transports en commun ne sont pas une option naturelle. « J’ai une Clio 4, guère puissante, mais ce n’est pas ce que je cherche. Je vis avec ma copine, ça nous suffit. Avec mes playlists, traverser l’Auvergne sur autoroute est un long fleuve tranquille. » Son rêve ? Le confort d’une berline Mercedes Classe A ou d’un SUV Peugeot 3008. Pour cet Agenais, « Dijon est une belle ville qui se démarque par son histoire. Je ne la trouve pas aussi vivante que Toulouse, mais elle est dynamique et je la trouve charmante. C’est un petit Bordeaux. J’adore les petites rues du centre-ville ». Le rugby, qui a galvanisé le Sud-Ouest, pourrait apporter sa convivialité. Rester après les matches, boire une bière avec les joueurs…
« Nous sommes des mecs très simples qui espérons apporter des victoires au public. Dijon est une grande ville, la région peut devenir une terrerugbystique. Si les gens nous suivent, nous allons leur montrer que le rugby est une fête. Ça aussi, c’est notre job.»

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