Les franchises Wall Street English dirigées par Nicolas Courbet et Pierre Doucet s’implantent petit à petit dans toutes les villes importantes de la région. L’industrie et le tourisme, activités économiques majeures en Bourgogne-Franche-Comté, ne peuvent plus se passer de l’anglais.
Et de sept. Sept centres Wall Street English en Bourgogne-Franche-Comté et dans le Grand Est pour Nicolas Courbet et Pierre Doucet : après Dijon, Besançon, Chalon-sur-Saône, Nancy, Metz et Mulhouse, le centre de Belfort a ouvert ses portes, dans le parc d’affaires Techn’hom qui regroupe 130 entreprises représentant 7 000 emplois. « Notre clientèle locale est d’abord industrielle, précisent les deux associés. De grands groupes sont présents dans ce bassin économique puissant du Nord Franche-Comté : Stellantis, Faurecia, GE, Alstom… Ce sont des entreprises largement tournées vers l’international, avec des centres de recherche employant des ingénieurs et des collaborateurs hautement qualifiés pour qui l’anglais est absolument nécessaire. » Comme à Chalon-sur-Saône, les franchises Wall Street English s’implantent sur des territoires à fort potentiel. C’est ce qui a toujours guidé Nicolas Courbet et Pierre Doucet dans leurs choix.
La prochaine implantation est d’ailleurs envisagée, fin 2022, à Thionville, là encore un bassin industriel historique, et frontalier qui plus est. « L’industrie est l’une des fiertés de notre territoire, souligne Nicolas Courbet. Les dirigeants sont parfaitement conscients de la nécessité que leurs collaborateurs maîtrisent l’anglais, ce qui n’est souvent pas le cas actuellement. C’est un peu la même prise de conscience qu’avec l’informatique il y a quelques années. » La réforme du financement de la formation continue constitue une opportunité pour l’enseigne spécialisée dans la formation en anglais : elle permet de flécher des moyens significatifs, via les contributions obligatoires ou le plan de formation des entreprises, vers l’acquisition de compétences indispensables à la pratique professionnelle ; la mobilisation du compte personnel de formation (CPF) est également une solution plébiscitée. « Dans des métiers en tension, la maîtrise de l’anglais ne constitue pas un critère de recrutement. La formation après coup s’avère d’autant plus nécessaire », analyse Nicolas Courbet.
Une solution incluant des outils on line
Autre secteur économique en plein développement (hors crise sanitaire) : le tourisme. « Nous avons plus de mal à toucher les acteurs, confie Pierre Doucet. Nous travaillons par exemple avec l’union des métiers de l’industrie hôtelière pour toucher les propriétaires d’établissement, dont le personnel ne maîtrise souvent pas l’anglais. Or la clientèle internationale s’attend à ce que les professionnels le parlent. » À cette population dont les horaires de travail sont généralement décalés ou qui ne vit pas forcément à proximité immédiate d’un centre, Wall Street English propose des sessions en distanciel. « Notre solution “All Access” permet une flexibilité dans l’organisation et inclut des outils on line. Elle repose sur un engagement personnel du stagiaire, qui doit consacrer trois à quatre heures par semaine à son apprentissage. »
Pour préparer les cours, consacrés entièrement à un échange avec le formateur, en petits groupes de quatre apprenants maximum. L’activité des centres Wall Street Englise a baissé de 50 % pendant six mois en 2020, même si certains ont profité du confinement pour se mettre à l’anglais. Mais, depuis septembre 2020, l’activité est bien repartie. La réalité de fond, c’est que la langue de Shakespeare est indispensable. Dans une région tournée vers l’international, Nicolas Courbet (le Franc-Comtois) et Pierre Doucet (le Bourguignon) croient plus que jamais en leur enseigne.
7 centres dans le Grand Est dont 2 en Bourgogne :
8, allée André-Bourland à Dijon – 03 80 301 777
7, rue de la Banque à Chalon-sur-Saône – 09 71 00 12 34
Pour plus de renseignements sur la formation Wall Street English à Dijon
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